Que sont les gaz à effet de serre ?
Les Gaz à effet de serre (GES) sont des gaz d’origine naturelle (vapeur d’eau) ou anthropique (liée aux activités humaines) absorbant et réémettant une partie des rayons solaires (rayonnement infrarouge), phénomènes à l’origine de l’effet de serre.
Les Gaz à effet de serrE détaillés :
L’activité humaine, en particulier l’utilisation de combustibles fossiles tels que le pétrole, le gaz et le charbon, entraîne le rejet d’une quantité considérable de gaz appelés « gaz à effet de serre » (GES) dans l’atmosphère.
Ces GES, naturellement présents dans l’atmosphère, sont maintenant reconnus par la communauté scientifique comme étant responsables du changement climatique.
Pourquoi c’est important…
- Les activités humaines les libèrent à un rythme effréné, dépassant largement les limites soutenables.
- Le réchauffement climatique qui découle de la libération des ces GES menace de bouleverser notre société telle que nous la connaissons.
- L’augmentation de la température moyenne ne signifie pas seulement des changements extrêmes de température à l’échelle mondiale, mais cela implique également une augmentation de la fréquence et de l’intensité de la plupart des catastrophes naturelles.
Pour contrer cette trajectoire inquiétante, notre meilleure stratégie consiste à réduire drastiquement nos émissions de ces gaz à effet de serre.
Pour approfondir, consultez notre post : Le changement climatique.
Pour aller plus loin
Le gaz à effet de serre le plus répandu et le plus connu est le dioxyde de carbone (CO2). Il est principalement produit par la combustion des combustibles fossiles, mais aussi par la déforestation et les activités humaines.
Outre le dioxyde de carbone, il existe d’autres gaz à effet de serre importants, nous retrouvons :
- Le méthane (CH4), par exemple, est principalement émis par la production et l’utilisation de combustibles fossiles, l’exploitation minière du charbon, l’agriculture (en particulier le bétail et les rizières) et les décharges.
- Le protoxyde d’azote (N2O) est un autre gaz à effet de serre d’origine humaine, principalement émis par l’agriculture (notamment l’utilisation d’engrais chimiques) et la combustion de combustibles fossiles. Il contribue également au réchauffement climatique et possède un potentiel de réchauffement beaucoup plus élevé que le dioxyde de carbone.
Tout les gaz ne sont pas égaux …
Dans l’univers des gaz à effet de serre, tous ne sont pas équivalents. Leur capacité à emprisonner la chaleur varie considérablement, même pour des quantités comparables. Le méthane se démarque particulièrement, avec un pouvoir de réchauffement climatique 23 fois supérieur à celui du CO2.
Bien que le méthane soit présent en quantités moins importantes que le CO2, sa courte présence dans l’atmosphère engendre un effet de serre très important sur cette période. Le méthane persiste pendant environ 12 années avant de se dégrader, tandis que le CO2 peut persister pendant plusieurs décennies, voire des siècles.
Face à cette réalité, il est essentiel de prendre en compte non seulement la quantité absolue de gaz émis, mais également leur impact réel sur le réchauffement climatique. C’est pourquoi nous utilisons la norme d’équivalent t CO2, qui permet de traduire les émissions de différents gaz en une mesure commune.
Gardons le contact sur les sujets carbone !
Écrivez à > carbone@datavaluestrategy.com
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Consultez notre page sur la comptabilité Carbone.
Les Gaz à effet de serre (GES) sont des gaz d’origine naturelle (vapeur d’eau) ou anthropique (liée aux activités humaines) absorbant et réémettant une partie des rayons solaires (rayonnement infrarouge), phénomènes à l’origine de l’effet de serre.
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Ces GES, naturellement présents dans l’atmosphère, sont maintenant reconnus par la communauté scientifique comme étant responsables du changement climatique.
Pourquoi c’est important…
- Les activités humaines les libèrent à un rythme effréné, dépassant largement les limites soutenables.
- Le réchauffement climatique qui découle de la libération des ces GES menace de bouleverser notre société telle que nous la connaissons.
- L’augmentation de la température moyenne ne signifie pas seulement des changements extrêmes de température à l’échelle mondiale, mais cela implique également une augmentation de la fréquence et de l’intensité de la plupart des catastrophes naturelles.
Pour contrer cette trajectoire inquiétante, notre meilleure stratégie consiste à réduire drastiquement nos émissions de ces gaz à effet de serre.
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Le gaz à effet de serre le plus répandu et le plus connu est le dioxyde de carbone (CO2). Il est principalement produit par la combustion des combustibles fossiles, mais aussi par la déforestation et les activités humaines.
Outre le dioxyde de carbone, il existe d’autres gaz à effet de serre importants, nous retrouvons :
- Le méthane (CH4), par exemple, est principalement émis par la production et l’utilisation de combustibles fossiles, l’exploitation minière du charbon, l’agriculture (en particulier le bétail et les rizières) et les décharges.
- Le protoxyde d’azote (N2O) est un autre gaz à effet de serre d’origine humaine, principalement émis par l’agriculture (notamment l’utilisation d’engrais chimiques) et la combustion de combustibles fossiles. Il contribue également au réchauffement climatique et possède un potentiel de réchauffement beaucoup plus élevé que le dioxyde de carbone.
Tout les gaz ne sont pas égaux …
Dans l’univers des gaz à effet de serre, tous ne sont pas équivalents. Leur capacité à emprisonner la chaleur varie considérablement, même pour des quantités comparables. Le méthane se démarque particulièrement, avec un pouvoir de réchauffement climatique 23 fois supérieur à celui du CO2.
Bien que le méthane soit présent en quantités moins importantes que le CO2, sa courte présence dans l’atmosphère engendre un effet de serre très important sur cette période. Le méthane persiste pendant environ 12 années avant de se dégrader, tandis que le CO2 peut persister pendant plusieurs décennies, voire des siècles.
Face à cette réalité, il est essentiel de prendre en compte non seulement la quantité absolue de gaz émis, mais également leur impact réel sur le réchauffement climatique. C’est pourquoi nous utilisons la norme d’équivalent t CO2, qui permet de traduire les émissions de différents gaz en une mesure commune.
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